Au sommaire :
- Quels enjeux pour les collectivités ?
- Les enjeux des multi-sites
- Les enjeux pour les acteurs privés et les réponses techniques
- Philosophie de la transition énergétique et qualité de la relation client
Au sommaire :
- Etat des lieux du développement du regroupement d’achat
- Quelques exemples de regroupements français
- Les avantages du consommateur à aller vers des regroupements d’achat
- Quelles précautions prendre ?
- Le regroupement d’achat, une vraie bonne idée mais à encadrer avec un suivi du marché
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Les énergies renouvelables sont-elles responsables des prix négatifs observés sur le marché spot de l'électricité en Europe ?
Résumé vidéo de Gazelec 2013, le meeting des décideurs de l'énergie en France : rendez-vous majeurs des acheteurs et des fournisseurs de gaz et d'électricité en France.
"GAZELEC est L'occasion d'exprimer à la tribune un certain nombre de points de vue, d'échanger et de networker avec les principaux fournisseurs d'énergies en France."
Fin des tarifs réglementés d’énergie :
l’offre transitoire, casse-tête pour l’acheteur public
Le sursis de six mois accordé à l’acheteur n’ayant pas quitté les tarifs réglementés de vente d’énergie dans les délais prévus par la loi consommation n’est pas applicable aux personnes publiques.
La CRE rappelle la fin imminente des tarifs réglementés du gaz pour les professionnels
Les tarifs réglementés de vente de gaz naturel pour les consommateurs professionnels vont progressivement disparaître entre le 19 juin 2014 et le 1er janvier 2016, rappelle la Commission de régulation de l'énergie (CRE).
Les tarifs réglementés du gaz, c’est fini pour les professionnels
Entreprises, hôpitaux, lycées, commerces ou grandes copropriétés : quelque 165.000 usagers du gaz devront progressivement renoncer aux tarifs réglementés à partir de juin, mais cette mesure destinée à accroître la concurrence s’accompagne de difficultés pratiques, selon les fournisseurs.
Actualités
Téléchargez la brochure de GAZELEC 2013.
Le rendez-vous annuel des acheteurs et fournisseurs de gaz et d'électricité en France.
"Pour nous, situés en Vendée, le congrès GAZELEC permet de rencontrer rapidement et efficacement plusieurs fournisseurs et spécialistes à la fois. C'est donc un gain de temps et d'argent considérable !"
"Le Congrès GAZELEC est une conférence incontournable, autant pour les acheteurs que pour les fournisseurs d'énergies en France."
Jacques Percebois s'interroge sur l'avenir de la libéralisation des marchés européens de l'énergie, tant les « effets pervers » prennent, selon lui, progressivement le pas sur les « bénéfices ».
Jacques Percebois dresse un portrait sans concession de l'état de la libéralisation des marchés européens de l'énergie.
Avocat et ancien directeur juridique d'EDF, Christophe Barthélémy se dit « frappé » par un modèle français où les opérateurs alternatifs copient l'ancien monopole verticalement intégré.
Iouri Virobian s'étonne d'un marché européen juxtaposant des modèles voire les plaçant en concurrence plutôt que les unissant.
Le représentant de l'administration française, Julien Tognola, défend « l'originalité » du dispositif de l'Arenh dans un marché libéralisé, car il donnera de la visibilité aux acteurs...
Emmanuel Rodriguez déplore un glissement « sémantique » sur la finalité de la libéralisation des marchés de l'énergie.
Mareva Edel encourage vivement les acheteurs à anticiper la date-butoir du 31 décembre 2014 ou 2015, selon les cas, s'ils veulent avoir affaire à un fournisseur « disponible »...
Olivier Puit n'est guère optimiste sur les effets immédiats de la fin des TRV pour les fournisseurs alternatifs.
Directeur des achats tertiaires du groupe Accor et président du CLEEE, Frank Roubanovitch s'interroge sur l'intérêt de rendre télérelevables ses sites profilés, car cela a un coût. Vous aurez alors un retour plus rapide des fournisseurs alternatifs donc des offres potentiellement plus intéressantes, lui répond la directrice commerciale et marketing d'E.ON, Mareva Edel.
Représentant du Syndicat départemental d'énergies de la Vendée (SYDEV), Philippe Gardes décrit un monde des collectivités peu enclin à s'engager dans la mise en concurrence du fournisseur historique d'électricité et de gaz.
Dans votre quête de la meilleure offre, jouez sur le volume plutôt que de viser le seul prix, suggère le directeur du marché des entreprises et professionnels d'EDF, Marc Benayoun.
« Ce qui différencie aujourd'hui un fournisseur d'un autre fournisseur, c'est le service », assure le président d'Enel France et Belgique, Michel Crémieux.
Michel Crémieux prône la constitution d’acteurs à deux têtes : l’un, fournisseur ; l’autre, opérateur d’effacement. Il s’adresse ici à Antony Parsons, son ancien directeur commercial parti chez Energy Pool, où il exerce la fonction de directeur commerce et marketing.
Le gaz de schiste en France et plus généralement en Europe ? Une bien mauvaise idée car il n’y aurait pas d’impact de compétitivité à en attendre, estime l’économiste Thomas Porcher. Auteur d’un livre intitulé Le mirage du gaz de schiste, il est qualifié « d’obscurantiste » par le député PS du Nord Christian Bataille, lui, farouche partisan du gaz de schiste.
La France commet une grave erreur économique en refusant toute exploration du gaz de schiste, proteste le directeur des Affaires publiques de Solvay et président de la commission pétrole gaz de l’Uniden, Claude Conrard.
Directeur des infrastructures et des réseaux de gaz à la Commission de régulation de l’énergie (CRE), Dominique Jamme pose les termes du problème.
Directeur général de GRT Gaz, Thierry Trouvé s’étonne de la demande de certains que cela se fasse à coût constant voire à la baisse. Il fait en particulier référence à un propos précédent du directeur général d’ENI France, Daniel Fava.
Directeur des achats biens et services de la coopérative Invivo, dont les actionnaires sont environ 250 coopératives, et responsable d’un projet mutualisant l’achat d’énergie, Emmanuel Delcourt s’inquiète et s’impatiente.
Les gros utilisateurs de gaz ont négocié avec les pouvoirs publics un statut particulier de « gazo-intensif » pour, notamment, remédier à ce problème d’écart de prix entre les zones Nord et Sud. Pourquoi pas nous ? revendique le directeur des achats biens et services de la coopérative Invivo, dont les actionnaires sont aussi des coopératives, Emmanuel Delcourt.
L’écart de prix Nord-Sud est un souci pour les acheteurs du Sud mais aussi pour les fournisseurs alternatifs, explique le président de Gazprom Marketing & Trading France, Iouri Virobian.
Acheteur énergies à la SNCF, Olivier Reymondon défend l’approche centralisatrice de son entreprise en matière d’achat de gaz. Notamment pour que, localement, les sites ne se voient pas imposer certaines clauses qu’il juge être des pièges.
On ne peut pas avoir à la fois le beurre et l’argent du beurre, répond, en substance, à Olivier Reymondon le directeur entreprises et collectivités de GDF Suez Energie France, Michel Vanhaesbroucke. Un acheteur doit choisir entre « un bon prix fixe et une très grande flexibilité ».
Directeur commercial France de Gas Natural Europe, Jean-François Daubonne vante une relation personnalisée avec le client. Acheteur chez Kuhn, Eloi Schott partage cette approche.
Suggestion tranchée et assez inattendue d’un fournisseur, Jean-François Daubonne (Gas Natural), à une acheteuse. Laquelle, en la personne d’Emeline Chevaleyre (Sanofi), a une réplique savoureuse.
L’acheteuse Sanofi Emeline Chevaleyre aspire à des contrats plus simples ; le fournisseur ENI Réginald Thiébaut lui répond : d’accord sur le principe, mais les demandes des clients ne s’y prêtent pas toujours…
C’est à vous de vous adapter à nos besoins et non l’inverse, lance le responsable des achats généraux à Aéroports de Paris (ADP), Bruno Cauquais, aux fournisseurs présents à la table ronde.
Alors que l’Agence internationale de l’énergie (AIE) prédit un « âge d’or » pour le gaz partout dans le monde sauf en Europe, Anne-Sophie Corbeau, experte à l’AIE, et Thierry Trouvé, directeur général de GRT Gaz, s’interrogent sur les intentions du gouvernement français concernant cette énergie.
Fournisseurs et clients dévoilent leur portrait-robot de l’opérateur idéal du futur. Tous considèrent que la relation ne peut plus se résumer au seul sujet de l’achat de l’électron ou de la molécule.
Bruno Bellamy est directeur commercial de Dalkia, filiale du groupe EDF et créateur de progrès énergétique.
Eloi Schott est acheteur d’énergie chez Kuhn, un constructeur de machines agricoles basé dans le Bas-Rhin.
Sandrine Hubert est acheteuse d’énergie chez Bouygues Telecom.
Emeline Chevaleyre est responsable des achats énergie de Sanofi dans le monde.
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